Je suis née à Nantes, en France, près des rives de la Loire et pas loin de l’Océan Atlantique, d’une mère française et d’un père uruguayen.
A 13 ans, j’ai commencé la photographie sur un reflex argentique « Nikkormat », capturant ma vie quotidienne de manière instinctive, et j’ai découvert avec excitation les possibilités infinies de l’image numérique sur Photoshop en autodidacte. Après le secondaire, j’ai étudié la Littérature Française et Comparée à l’Université de Nantes pendant 4 ans ; j’ai présenté un mémoire de Master sur les adaptations, au cinéma et en bande dessinée, d’un conte d’Edgar Poe : « Les chutes de la maison Usher : étude du motif de la chute dans le conte d’Edgar Allan Poe et dans ses adaptations au cinéma (Jean Epstein, Jan Švankmajer, Alexandre Astruc) et en bande dessinée (Dino Battaglia, Richard Corben, Nicolas Guillaume) ».
En 2008, j’ai commencé à étudier la photographie et le cinéma à l’Université de Vincennes – Paris 8. J’ai fait plusieurs stages auprès de photographes (notamment Youri LENQUETTE) et j’ai commencé à travailler comme photographe (surtout en photographie événementielle et promotionnelle). En 2010, j’ai emménagé à Bruxelles, où j’ai étudié à l’INSAS, école publique de cinéma. Spécialisée en Image, j’ai étudié la théorie et la technique de la photographie de cinéma, fait plusieurs stages dans des entreprises de location de matériel et dans des studios de post-production. Mon mémoire de fin d’études, encadré par par Yves CAPE (SBC, AFC) portait sur la « cinématographie légère » : « Pour une photographie de cinéma légère : Quand la technique s’efface pour plus de liberté de mise en scène », avec des interviews exclusives de célèbres chefs-opérateurs (Agnès GODARD, Caroline CHAMPETIER, Claire MATHON, Yves CAPE, Tom HARARI), chefs-électriciens (Bruno VERSTRAETE), assistants caméra (Didier FRATEUR) et réalisateurs (Cédric KAHN).
Depuis 2022, je suis également chargée de cours de travaux pratiques sur le logiciel Da Vinci Resolve et professeur encadrant sur des exercices d’étalonnage pour L’École supérieure de réalisation audiovisuelle (ESRA) de Bruxelles.
La variété de mes activités professionnelles me permet de continuer à exercer mon œil de différentes manières.
Cela participe également à mon épanouissement intellectuel et personnel et au plaisir que j’éprouve dans mon travail.